Freepay : solution financiere electronique sécurisé libre / open source (swift, banque, paiement, carte de credit, e-commerc

Description

FreePay est un prototype de logiciel bancaire et financier libre sur Internet qui repose sur plusieurs modules :
  • des standards ouverts
  • un Marché libre (MIC)
  • un SWIFT libre (BIC)
  • une Banque libre (IBAN)
  • un fournisseur de service de paiement (FreePSP)
  • un module de cartes d'achats et de paiement (FreeCard)
  • un module d' E-Commerce (FreeShop)
  • une Bourse de libre-échange par enchère (FSX)


Introduction

La méthode
L’ Analyse de Cause Racine (ACE) part du constat qu’il est plus judicieux de traiter les causes d’un problème que d’en traiter les symptômes immédiats. Puis qu’analyser les causes d’un problème permet d’en déterminer une solution définitive, et donc, empêcher qu’il ne se reproduise de nouveau.

Le besoin
La plupart des problèmes peuvent être définis et quantifiés. Ce sont donc des problèmes financiers. La solution de l'individu pour surmonter son problème est donc de trouver l'argent nécessaire. Mais, l'argent n'est pas toujours disponible. Ce qui est problématique : Comment pouvons-nous toujours obtenir de l'argent pour répondre à nos besoins efficacement ?

Le moyen
La solution a déjà été en partie résolue (le FSX). Elle se base sur une stratégie gagnant gagnant. Cependant, cette solution technique rencontre des problèmes de nature législative (SEC) et financière dont il faut répondre avant sa mise en place définitive.

Sur le long terme, la problématique des banques consiste à garder leur avantage compétitif. Elles doivent modifier leur business plan : connaître les tendances du marché et se repositionner sur une niche. Cela concerne à la fois les banques centrales, les banques privées, les banques de détails et les banques d’investissements.

La problématique des éditeurs de logiciel consiste à concevoir de nouveaux produits et services tout en réduisant le coût total de possession (TCO), tout en augmentant son chiffre d'affaire, tout en restant abordable pour leur consommateurs .

On peut conceptualiser la création d'une banque en ligne en 3 processus distincts : l'administratif, le matériel et le logiciel. L'administratif se fait auprès des autorités de régulation en la matière. Le matériel s'achète auprès de fournisseurs de serveurs de stockage. Enfin, la partie logicielle, celle qui ici proposée, est vendu par des sociétés de services.

La Législation Européenne

Contexte : « Le maintien d'un niveau de frais plus élevé pour les paiements transfrontaliers que pour les paiements nationaux constitue un frein aux échanges transfrontaliers et donc un obstacle au bon fonctionnement du marché intérieur. »

Source : RÈGLEMENT (CE) No 2560/2001 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du
19 décembre 2001 concernant les paiements transfrontaliers en euros

Directive sur le commerce électronique : Elle exonère de toute responsabilité les intermédiaires qui jouent un rôle passif en assurant le simple "transport" d'informations provenant de tiers. Elle limite également la responsabilité des prestataires de services pour d'autres activités intermédiaires, telles que le stockage d'informations.

Source : Directive 2000/31/CE du Parlement européen et du Conseil du 8 juin 2000 relative à certains aspects juridiques des services de la société de l'information, et notamment du commerce électronique, dans le marché intérieur («directive sur le commerce électronique»)

Paiements transfrontaliers en euros : «Tout établissement communique à chaque client qui en fait la demande son numéro international de compte bancaire (IBAN) ainsi que le code d'identification de banque (BIC). »

Source : Règlement (CE) n° 2560/2001 du Parlement européen et du Conseil du 19 décembre 2001 concernant les paiements transfrontaliers en euros.

Plus d'informations sur le cadre européen des services financiers et bancaires.

Les applications composites

Sergey Brin, fondateur de Google, a annoncé qu'il attribuerait une prime globale de 10 millions de dollars aux développeurs des meilleures applications dans le cadre de l'Android Developer Challenge. Parmis les 1700 projets envoyés, seulement 50 ont été retenu. Parmi ces projets finalistes, la plupart sont des mashups utilisant les API Google dont la très célèbre Google Maps API. FreePay est aussi une application web de type hybride.

L'économie : Libre échange, économie de marché, Secteur tertiaire (Banque, Finance). Laissez-faire économique avec néanmoins des restrictions : pas de création de monnaie, pas de création de devise, pas d'augmentation de la masse monétaire.

Un internaute sur deux consomme sur Internet en France. Les deux principaux facteurs d'achat sont le gain de temps et la perspective de payer moins cher. Entre 2003 et 2006, le nombre de boutique e-commerce à plus que doublé. Ebay enregistre plus de 4 millions de visiteurs uniques pour novembre 2004 et en gagne 2 millions de plus en 2006. Le e-commerce attirait 100 millions d'acheteurs en 2006 pour 100 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Source : www.acsel.asso.fr/

« Les fonds d'investissement représentent 12,6 % des actifs financiers détenus par les ménages européens. Les capitaux gérés par les fonds d'investissement dans l'UE ont quintuplé en l'espace de 12 années. Les taux de croissance devraient avoisiner les 10 % par an d'ici à 2010, ce qui porterait le montant total des actifs gérés par des fonds à plus de 8000 milliards d'euros. » (p2 / 18 du Livre blanc de la Commission, du 15 novembre 2006, sur l'amélioration du cadre régissant le marché unique des fonds d'investissement )

Pourquoi MySQL ?

MySQL AB a été acheté le 16 janvier 2008 par Sun Microsystems pour 1 milliard de dollars US. Avec 400 employées dans 25 pays, MySQL AB est une des plus larges entreprise open source au monde. Elle est la société créatrice de MySQL, un système de gestion de base de données (SGDB). Il fait partie des logiciels de gestion de base de données les plus utilisés au monde, autant par le grand public (applications web principalement) que par des professionnels, au même titre que Oracle ou Microsoft SQL Server.

Selon Forrester Research, le très prestigieux institut de conseil et de recherche en technologie, le commerce électronique à généré quelques 12,2 milliards de dollars de vente annuel aux États-Unis en 2003.

Modèles économiques des SS2L

Les modèles économiques des SSLL sont liés à la notion de service : vendre un savoir-faire et une expertise plutôt qu'un droit d'usage sur un logiciel.
Le passage suivant de "Open Source Development with CVS (M. Bar & K. Fogel)" (p23/368), illustre le fondement de ce modèle :
"Imaginez un appareil de science fiction qui permettrait de répliquer indéfiniment n'importe quel objet. Si quelqu'un essayait de vous vendre un pneu pour votre voiture, pourquoi l'achèteriez-vous ? Vous pourriez simplement utiliser la machine à répliquer avec le pneu d'un ami ! Cependant, vous voudriez payer quelqu'un pour mettre au point un nouveau pneu pour vous, ou peut-être pour installer le pneu sur votre voiture. Ou pour vous aider au cas n'importe quelle pièce de votre voiture tombe en panne, vous voudriez sans doute une garantie de prise en charge future. Ou peut-être voudriez-vous simplement louer les services d'un mécanicien personnel.".

Comment vendre l'idée ? -> Réduire les coûts de développement

Les entrepreneurs qui veulent ouvrir leur banque n'ont pas suffisamment de moyen financiers pour y parvenir. C'est un marché de consommateur potentiel qui mérite qu'on s'y attarde. Il faut donc leur réduire les coûts. Comme les logiciels sont immatériels, les investisseurs peuvent se partager les coûts de développement puisque le produit peut être dupliqué à l'infini. Ce qui se résume par l'équation suivante :

Ancien coût du logiciel propriétaire / Nombre de client = Nouveau coût du logiciel libre par client

Exemple sur la base d'un projet qui aurait coûté 50 000 euros par client :

50 000 Euros / 50 Clients = 1000 Euros par client

Soit une économie de 49 000 euros par client soit 2 450 000 Euros d'économie en tout. Les entrepreneurs bancaires ont donc tout intérêt a se regrouper.

Source / Exemple :


Mettre la source entière ici serait trop volumineux.

  • voir les brochures :
http://freepay.fr/freepay/support/docs/presentation%20banque%20libre.pdf http://freepay.fr/freepay/support/docs/presentation%20banque%20libre.odp http://freepay.tuxfamily.org/ http://freepay.sourceforge.net/ (connexion : http://freepay.fr/freepay/support/client/connexion.php avec le login : "test@freepay.fr" ou "test2@freepay.fr", mot de passe : "a" pour les deux)
  • Télécharger directement la solution FreePay (la version disponible sur www.phpcs.com n'est pas complète):
http://freepay.fr/freepay.7z
  • Miroirs :
http://freepay.fr/freepay.zip http://freepay.tuxfamily.org/freepay.zip http://freepay.sourceforge.net/freepay.zip

Conclusion :


La législation européenne est très favorable à la venue de nouveaux acteurs bancaire pour peu qu'il suivent la réglementation en vigueur. De plus, le marché du commerce en ligne augmente exponentiellement depuis quelques années maintenant.
Nous avons vu qu'un tel système est possible techniquement (au vu de la démonstration en ligne) car reposant sur les standards de la banque / finance (ISO / TR / IEC / ECBS) et protégé par le code de la propriété intellectuelle.
Il fonctionnerait ainsi de la même façon, voir mieux, que progiciels bancaires existants tout en étant moins cher et tout en assurant la compatibilité avec les anciens systèmes.

Présentation technique du progiciel bancaire et financier libre

Respect des Standards

Ce logiciel se base sur des standards ouverts élaborées par l'Organisation internationale de normalisation (ISO) et le European Committee for Banking Standards (ECBS).

Langages

Les pages sont compatibles XHTML 1.0 Transitionel et CSS2 selon les directives du W3C. Le XHTML se base sur la syntaxe définie par XML, afin de faciliter l'échange automatisé de contenus entre systèmes d'informations hétérogènes (interopérabilité).

Le PHP est exécuté par un serveur HTTP qui renvoie les pages en XHTML et le code JavaScript associé.

Multidevises (ISO 4217:2001)

Elle est Multidevises ce qui lui donne accès à 170 type de fonds et monnaies normalisés parmi les plus utilisés au monde. Parmi cette liste, on peut citer : le Dollar des États-Unis, l'Euro, le Yen, le Yuan, la Livre sterling, le Dollar australien, la Roupie indienne, le franc suisse et le Dollar canadien.

Le Market Identifier Code (ISO 10383:1992)

412 institutions de bourses et de marchés réglementés sont référencés.

Parmi elles, les 20 plus grandes en termes de capitalisations sont : Euronext, le Tokyo Stock Exchange, le Nasdaq, le London Stock Exchange, le Hong Kong Stock Exchange, le Toronto Stock Exchange, la Deutsche Boerse, le Shanghai Futures Exchange, la Bolsa de Madrid, l'Autralian Stock Exchange de Melbourne, le Swiss Exchange de Zurich, la Korea Exchange, la Bolsa de Valores de Sao Paulo, le Calcutta Stock Exchange, le Moscow Central Stock Exchange, le South African Futures Exchange de Johannesburg et le Taiwan Stock Exchange.

Toute les banques n'appartenant pas à une institution de Bourse de valeur (STOCK EXCHANGE) réglementé doivent s'inscrire sur le « NO MARKET (EG, UNLISTED)».

Les banques ( ISO 9362:1994)

Le module répertorie 299 institutions financières.

Les banques ont un Bank Identifier Code (BIC / Code SWIFT ), un nom, une institution, un pays, un emplacement, une branche. Le BIC est formé de 8 à 11 caractères : 4 caractères définissant la banque (MIC), 2 caractères constituant le code ISO du pays (ISO 3166), 2 caractères d'emplacement (ville, état), 3 caractères optionnels définissant l'agence (XXX) ou la branche de la banque (123).

Elles fournissent les numéros les numéros de compte bancaire international et national (IBAN) ainsi que les numéros de cartes bancaires à leur clients.

L' International Bank Account Number (IBAN / ISO 13616:1997 )

L'IBAN identifie le compte bancaire internationallement de manière unique. Cette solution gére la vérification et la génération d'IBAN. Le client a un IBAN affecté à l'inscription. Il peut le supprimer ou en ajouter d'autres. (note : Il est toujours indiqué sur les chèques.)

Le numéro IBAN est une suite de 27 caractères alphanumériques. Le numéro IBAN se compose d'un indicatif du pays( 2 en alphabétique), d'une clé (2 en numérique), d'un code banque (5 en numérique), d'un code guichet (5 en numérique), d'un numéro de compte (11 en alpha-numérique), d'une clé RIB (2 en numérique). Le code banque et le code branches sont des entiers de 5 chiffres.

Le vérificateur IBAN fonctionne avec 40 pays européens dont la France, l'Allemagne, la Suisse, la Belgique, l'Italie, l'Angleterre, le Portugal, l'Irlande, pour ne citer qu'eux.

Les clients

Un client est identifié par son courriel et accède à sa session par un mot de passe. Le mot de passe peut être changé ainsi que ses informations personnelles. Sauf le courriel qui est unique. Le client renseigne son pays (ISO 3166-1 alpha-2), ex : 'France' devient 'FR'

Le but premier est de faire une maquette d'un système bancaire qui fonctionne pour trouver des investisseurs. L'identifiant et mot de passe dans le mail servent à faciliter l'accès pour "voir" plus
rapidement de quoi le système est capable. Ce n'est pas une mesure destiné à l'environnement de production.

FreePay

Il contient un porte monnaie électronique qui permet des transferts d'un compte (émetteur) vers d'autres comptes distinctes de lui-même (destinataire). Il permet de faire des transactions et de les recevoir presque instantanément. Toutes les transactions sont présentes dans un historique consultables par les parties. Il est possible d'envoyer une transaction anonymement. Les demandes de paiement sont un simple mail.

L'ordre de paiement récapitule les informations de transfert de compte à compte freepay par email.

Le client opère des transferts de fonds depuis son compte IBAN vers le porte monnaie et inversement. Il peut consulter l'historique de ses transferts ou juste un historique rapide sur la page principale.
Pour l'instant, le processus métier d'ajout et de retrait de fonds à partir d'une banque externe se fait manuellement. La banque externe gérant la transaction en interne. L'opérateur recopiant les entrées dans la banque libre et, passant des ordres de sorties, dans la banque externe.

Les cartes de crédit des banques (FreeCard)

Le système des cartes de crédit repose sur 2 standards :
L'ISO/IEC 7812-1, Identification cards Identification of issuers Part 1: Numbering system
L'ISO/IEC 7812-2, Identification cards Identification of issuers Part 2: Application and registration procedures
Le numéro de carte de crédit est composé de 19 caractères maximum, comme suit :
Un Major Industry Identifier (MII) sur 1 chiffre
Un Bank Identification Number (BIN) ou Issuer Identification Number (IIN) sur 6 chiffres
Un Individual Account Number (IAN) sur 9 chiffres
Un Validity Check Code (VCC) à partir de l'algorithme de Luhn sur 1 chiffre

Le client possède aucune ou plusieurs cartes de crédit. La carte de crédit est identifié par un numéro qui renseigne sur un organisme d'affiliation (American Express, Bankcard, China Union Pay, Diner's Club, Discover Card, JCB, Maestro, Mastercard, Solo, Switch, Visa, Visa Electron, Voyager ) et, est suivit par une date d'expiration (mois, année). Elle n'est attribué qu'à un et un seul client.

L'ecommerce (FreeShop)

Ce module permet à un client de payer un commerçant lors de ses courses sur le net.

Le commerçant doit tout d'abord s'enregistrer sur Freepay. Puis, copier les scripts d'exemples (ecommerce_exemple.php et ecommerce_verification.js) et les intégrer sur son site d'ecommerce ; Le mail de la boutique, le nom de la boutique, le montant de la facture, le numéro de facture sont renseigné par la boutique. Le montant est en Euros. Avec 2 positions après le point. Ou, seulement la partie principale suivante (non conseillé) :

http://freepay.fr/freepay/services/shop/ecommerce.php?mailboutique=$mailboutique&nomboutique=$nomboutique&montant=$montant&numfacture=$numfacture&mailcli=$mailcli&telcli=$telcli

La requete ci-dessus doit envoyer les champs du formulaire rempli automatiquement à Freepay.

Le client renseigne son mail, son numéro de carte de crédit et son numéro de téléphone sur la plateforme de paiement sécurisé. Le numéro de téléphone est sur 10 positions. Les information sont soit validées, soit réaffiché pour correction manuelle si problèmes il y a.

Une fois le paiement effectué, le client et le commerçant recçoivent un courriel récapitulatif. Le marchand n'a plus qu'à envoyer le(s) produit(s) à l'adresse de facturation.

Les Securities Exchange Commission (SEC)

Les SEC sont des organismes indépendants qui servent à la réglementation de l'industrie des services financiers. Comme les lois et réglementations financières diffèrent dans chaque pays et même à l'intérieur des pays (comme aux Etats Unis et au Canada), il existe plus d'une centaine de SEC au niveau mondial. (exemple : En france, c'est l'AMF. Au Royaume Uni, c'est la FSA.)

L' ISIN (International Securities Identification Number)

L' ISO 6166 relative aux instruments financiers - ISIN (International Securities Identifying Number) est une norme datant de 2001 qui identifie internationalement les valeurs mobilières. Elle est utilisée pour identifier les actions, les obligations, les bons, les warrants et les trackers. L'ISIN est composé de 12 caractères alphanumériques, les deux premiers servant à identifier le pays de cotation de la valeur selon la norme ISO 3166-1.

En 1990, l'Association of National Numbering Agencies (ANNA) est formé dans le but de
maintenir et implémenter ce standard. L' Organisation internationale de normalisation (ISO) désigne l'ANNA comme l'autorité en la matière avec une plateforme commune à tous : l'International Central Securities Depository (ICSD).

En France, c'est le 30 juin 2003 que le code ISIN a remplacé le code SICOVAM pour identifier les principaux instruments financiers, dans un souci de faciliter des échanges trans-frontaliers et de normalisation au niveau international des marchés financiers.

En février 2005, on comptait 2,85 millions d'ISIN représentant 2,16 millions de titres. Le temps d'allocation et de distribution des ISINs a été réduit de plus de deux heures à moins de deux minutes.

Les National Numbering Agencies (NNA)

Les NNA ont chacun leur registres centraux (CSD) et sont responsables de la délivrance des ISINs dans leur pays. En fin d'année 1997, les membres de l'ANNA ont décidé de changer pour un modèle basé sur l'Internet capable de gérer à la fois les ISIN, la CFI, SWIFT et le STP : GIAM-2 était né.

Le Free Stock Exchange (FSX)

Fonctionnement du Free Stock Exchange (FSX), étape par étape :

1. Le système de trading repose sur une stratégie gagnant-gagnant. La plateforme de trading est un lieu de confrontation de l'offre de titres financiers et de la demande d'argent en application de la pensée du laissez-faire économique. C'est un jeu à somme nulle du point de vue de la plateforme de paiement mais pas du système de trading (1 euro titrisé symbolique émit pour l'amorçage, échange +1 +1 pour chaque partie à chaque transaction). C'est un cercle vertueux. C'est un système de personne à personne (P2P) complémentaire qui permet aux utilisateurs de passer des ordres sur une plateforme de paiement. Cela a été conçu de tel manière qu'il n'y a pas de risque de variation inverse. Puisqu'il n'y a pas d'ordre de vente, il ne peut y avoir de crack boursier. Tout les utilisateurs du système peuvent s'enrichir, mais pas au même moment. L'utilisateur peut donc devenir, selon ce qu'il en fait, un trader. (fr :
Opérateur de marché)

2. L'utilisateur se connecte sur la plateforme de Trading. (L'inscription est gratuite) Chaque utilisateur possède les même fonctionnalitées que les autres à sa disposition. Il n'y a pas de privilèges.

3. L'utilisateur peut rechercher un titre grâce à son prix (inférieur, égal ou inférieur à une certaine somme). Les classer par utilisateur (uniquement les amis par exemple). Ou par le numéro ISIN.

4. L'utilisateur est libre d'acheter des titres à n'importe quel moment de la journée. (7/7j, 24/24h)

5. Une liste des ISIN en vente s'affiche. Pour chaque ISIN on a son propriétaire, sa valeur, sa devise.

6. Le montant initial est paramètrable : Inférieur, égal ou supérieur à celui voulu par le vendeur. Dans le cas inférieur, le vendeur récupére l'argent et le montant ISIN non vendu. (Le montant ISIN non vendu, peut quand même être vendu par la suite.) Dans le cas égal, le vendeur obtient l'équivalence d'argent demandé totale. Dans le cas supérieur, le vendeur obtient plus que ses espérances et l'acheteur fera plus de profit par la suite. Dans tout les cas, l'acheteur à tout intérêt à faire jouer son réseau pour obtenir son argent au plus vite. (Un simple mail, à son initiative, expliquant pourquoi il à besoin de cet argent. Chaque utilisateur à sa propre vision des moyens qu'il lui est nécessaire pour atteindre le but qu'il s'est fixé. Ce peut être de se nourrir ou vouloir financer un projet innovant dans une perspective de développement durable, par exemple.)

7. Le profit est aussi paramétrable (de 0 à 100 %, exemple : 25 euros réel deviennent à 100% -> 50 euros titrisés). Cela permet à l'utilisateur de spéculer ou de ne pas le faire. Ce qui permet à l'utilisateur de transformer ses capitaux en plus de capitaux représenté par les titres. (Et ensuite transformer ses titres en capitaux par l'acte de vente, exemple : 50 euros titrisés -> 50 euros réel). D'où : 25 euros réel -> 50 euros réel. Ce qu'il fallait démontrer.

8. L'utilisateur peut sélectionner 1 ou plusieurs titres dans son panier. Et valider sa commande.

9. Il peut les acheter seulement si le prix de chacun ne dépasse pas le montant restant du porte monnaie électronique (eWallet) au moment de la transaction. La transaction se fait dans la seconde (dépend du nombre de connexions simultanées).

10. Un titre est toujours en vente selon le principe du PAPS (Premier Arrivé, Premier Servi). Seul le nom du propriétaire change. C'est donc le droit de propriété qui est vendu entre utilisateurs.

11. Chaque utilisateur peut consulter ses titres acquis ou le solde de son porte monnaie électronique (eWallet) modifié.

12. L'utilisateur se déconnecte de la plateforme de Trading.

Installation

I En local (pour des tests)
Ordre Actions
1 Installer un Apache (>= 1.3.33), Mysql (>= 4.1.9), PHP (>= 4.3.10), PhpMyAdmin(>= 2.6.1) sur votre système d'exploitation (via EasyPHP sous Windows)
2 Démarrer EasyPHP (tout les feux au vert) sous Windows
3 Dé-compacter les fichiers
4 Créer une base de données « freepay » (sans les doubles quotes) à l'URL http://localhost/mysql/
5 Cliquer sur l'onglet SQL, copier-coller les données du fichier 'scripts sql tables & champs.sql' dans le champ de saisie et cliquer sur Executer.
(5.1) Optionnel : changer la monnaie par default (EUR) par une autre (exemple : USD) dans le fichier 'params.php' (sans les simple quotes)
6 Placer les fichiers dans le répertoire par défaut ( c:/ProgramFiles/EasyPHP1-8/www/freepay sous Windows ; ou /var/www/)
(6.1) Optionnel, sous Linux seulement:
•modifier le fichier localisé dans /etc/apache2/conf.d avec le jeu de caractère « AddDefaultCharset ISO88591 »
•relancer Apache par la ligne de commande « sudo /etc/init.d/apache2 restart »
7 Mettre cette URL dans votre navigateur (Firefox) : http://localhost/freepay/

II Sur Internet (pour de la production)
Ordre Actions
1 Acheter un nom de domaine (banque-exemple.com)
2 Obtenir un hébergement contenant un espace suffisant (min : 50 mo)
3 Dé-compacter les fichiers
4 Créer une base de données « freepay » (sans les doubles quotes) à l'URL http://banque-exemple.com/ mysql/
5 Cliquer sur l'onglet SQL, copier-coller les données du fichier 'scripts sql tables & champs.sql' dans le champ de saisie et cliquer sur Exécuter.
(5.1) Optionnel : changer la monnaie par default (EUR) par une autre (exemple : USD) dans le fichier 'params.php' (sans les simple quotes)
5.2 Modifier les valeurs par default par celles qui ont été fournies par l'hébergeur dans le fichier 'params.php' (sans les simple quotes)
5.2 Faire les redirections d'emails (rh@banque-exemple.com, commercial@banque-exemple.com, technique@banque-exemple.com, abuse@banque-exemple.com etc) vers rh@banque-exemple.com etc
6 Importer les fichiers via fireFTP (extension firefox) dans le répertoire par défaut
7 Lancer dans le navigateur http:// banque-exemple.com /freepay/
8 Référencer votre site dans la liste des BIC de FreePay et sur les moteurs (ex : Google)

Cahier des Charges

·Implémenter les standards ouverts de la banque et de la finance :
-Single Euro Payments Area (SEPA)
-Open Financial Exchange (OFX)
-Secure Electronic Transaction (SET)
-Interactive Financial Exchange (IFX)
-FinTS / Homebanking Computer Interface (HBCI)

-Demande de Paiement
-ATM (distributeur automatique de billets)
-E-chèque
-BasicCard

·Assurer la compatibilité avec les autres institutions financières (après audit) :
2checkout,Amazon payment,Authorize.net,CardStream,CyberCash,DataCash,E-xact,fxsource,Ipayment, Linkpoint,Moneris,Nochex,Ogone,PSL Payment Solutions,PayJunction,Paypal Payflow Pro,PayPal Website Payments Pro (UK),PayPal Website Payments Pro (US),PaymentExpress,Plug'n Pay,Psigate
Quickpay,Realex,Secpay,SecurePay,TransFirst,Trust Commerce,USA ePay,Verifi,eWAY,WireCard

Texte disponible sous GNU Free Documentation licence.

Codes Sources

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