Comme le nom l'indique, c'est un petit exemple de tramage d'une image.
Il explique la technique pour convertir une image en noir et blanc.
Plusieurs algorithmes sont disponibles :
- Aléatoire
- Seuil n%
- Matrice 2x2 - 3x3 - 4x4
- Floyd-Steinberg (diffusion d'erreurs)
- Floyd-Steinberg + Matrice
- Floyd-Steinberg + Aléatoire
30 mars 2008 à 11:07
Si ca tente quelqu'un de se penché dessus ou si vous avez un site "le bicubique pour les (gros) nuls (en math)"...
13 mars 2008 à 01:18
Merci Barbichette.
Pour ceux qui trouvent que 2 couleurs limitent trop un rendu, voir :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gustave_Dor%C3%A9
Moi, j'aurais laissé tomber le noir pour une couleur plus proche du dessin original (vert, dans ta capture par exemple).
D'ailleur, partant de G. Doré et de la technique de gravure en taille douce, il serait peut-être intéressant de remplacer tes points par des traits. Cela donnerait un "mouvement" au dessin.
Mais je ne connais pas d'algo pour faire ça. Ca reste à inventer. Ce serait plus de l'Art que de l'Info... Mais pourquoi pas? ;)
10 mars 2008 à 10:45
Il est vrai que c'est plus clair comme ça....
Sinon, si quelqu'un à des informations sur d'autres algos possibles, je suis preneur.
Tel que Burkes ou de Stucki cité plus haut...
9 mars 2008 à 22:16
J'aurais toutefois aimé que ce code soit rendu plus facilement réutilisable en séparant le traitement des images des contrôles de l'interface. Je trouve cela bien dommage, surtout pour les débutants qui seront rebutés par la difficulté.
8 mars 2008 à 00:06
J'avais fais un code similaire en QBasic (!) pour pouvoir afficher des images 16 millions de couleurs alors que l'affichage n'en supportait que 16. (J'avais aussi implantés d'autre algorithmes tels que l'algorithme de Burkes ou de Stucki).
D'ailleurs, il pourrait être sympa d'étendre ton algorithme non plus seulement à du noir et blanc mais à du 16 ou 256 couleurs...
il faut savoir que c'est des algorithmes de ce genre (exactement le Halftoning) qui sont utilisés dans l'imprimerie (pour nos journaux par exemple) car les imprimantes ne peuvent pas faire autre chose que mettre un point de couleur ou de ne rien mettre (il n'y a pas de valeur intermédiaire comme sur les écrans). Dès lors, pour rendre un dégradé ou une palette de couleur important, il suffit de jouer sur "la globalisation" de notre oeil qui va plutot chercher à regarder la moyenne des couleurs d'une petite surface que chacun des points qui la compose.
Je dois dire qu'à chaque fois que je vois une source posté par toi je suis toujours certain d'être content du résultat.
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